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This topic contains 563 réponses, has 42 voix, and was last updated by Laughing-Jack Il y a 5 years, 2 months.
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3 janvier 2012 at 20:20 #1036
Aie Aie aie … Et si je venait mettre le souc dans le forum?
Modo Oz en action :twisted:4 janvier 2012 at 13:31 #1041Oz sur mon topic :3 xD
Bref Sashi n’aie pas honte si tu fais des fautes on te corrigera ^^4 janvier 2012 at 17:32 #1050nan, pk pas ? >:p
nan mais g honte pck c moisi (et en plus g pas fini XD) donc heu voila………
4 janvier 2012 at 19:19 #1053Oh, Ellen, je viens de lire ton histoire… Enfin ton prologue ^^
Je trouve ça captivant, mais c’est assez cruel quand même.
J’ai hâte de lire la suite :p
Par contre, il y a juste quelques petits problèmes au niveau des temps je pense ^^ (c’est un peu ce que je disais à Sushi) Tu passes du récit passé au présent, au futur, c’est un peu confusDès que Oz passe quelque part c’est l’émeute ! xD
4 janvier 2012 at 19:45 #1054Je sais je fais toujours des fautes lorsque j’écris. T.T
Si t’as envie de connaître la suite, je la posterai alors. ^^5 janvier 2012 at 16:54 #1061Youpi, j’ai hâte !
5 janvier 2012 at 18:22 #1063Voici le chapitre I ^^ Bonne lecture! Et n’hésitez pas à me faire remarquer des fautes si vous en voyez… ^^” Merci d’avance.
Chapitre I- L’évasion
-Eh Ellen, m’interpella Jim. Tu sais quoi ? Il paraît que l’club de l’avenir va comporter une véritable voyante ! Et si on allait voir ?
Sans que je puisse répondre, il m’empoigna fermement et me conduit devant une femme capuchonnée. J’avais oublié que Jim était assez fort pour quelqu’un de mince. La femme agitait ses doigts et parlait seule devant une coupole d’eau. Sa tête était cachée, et beaucoup s’étaient rassemblés devant elle, mais elle ne disait rien, ce qui préservait le mystère… Puis, soudainement, elle me pointa du doigt et s’écria :
-Toi ! Je sens que tu vas dépendre de garçons, je le sens et je le sais… Fais attention ! Une aura sombre plane au dessus de ta tête… Elle viendra bientôt te tuer sous les coups de tes douze ans !
Par cette réplique, je la fixais, les yeux ronds : le silence s’était installé. Une boule se formait dans ma gorge. Elle reprit son souffle… Puis elle se tut. Tout le monde m’observait. Jim secoua sa tête et siffla:
-N’importe quoi… Bon viens on s’en va !
-Tu devrais faire attention ! nous cria t elle quand nous sortions. Dis toi bien que tu mourras à tes douze ans !Ayant oublié cette mise en garde, je décidais maintenant de descendre dans le jardin. Une fois la porte franchie, je me trouvais devant le magnifique jardin. Une fontaine coulait à quelques mètres. Des roses, des pensées, des tulipes… Toutes sortes de fleurs poussaient à cet endroit. Un doux parfum circulait dans l’air. Les oiseaux gazouillaient. Les pommes croquantes se trouvant sur les pommiers, prêtes à être cueillies, étaient rouges écarlate, les fleurs roses des cerisiers avaient éclot, les fleurs blanches des orangers ayant pour réputation de calmer les nerfs quand on respirait son parfum pendouillaient un peu partout… Devant ce morceau de paradis, j’aperçus aussi un petit potager, où il n’y avait rien pour le moment.
-C’est beau n’est ce pas ? demanda alors Jim derrière moi.
-Magnifique !
-Je savais que t’aimerais ! sourit t il alors. Viens, je vais aller voir mon frère dans la cour.Nous quittions alors le jardin pour se rendre dans la grande cour. De nombreux enfants de tout âge s’y trouvaient, ainsi que de nombreux couples… Prêts à adopter. J’observais Jim, qui maintenant tremblait des lèvres. Son regard bleu pâle pointait vers un homme aux cheveux blancs, qui semblait très riche, deux grands jeunes hommes avec un petit garçon aux cheveux bruns, au regard très doux.
-Qu’est ce qu’il y a ?
-C’est mon frère! Avec un homme !Paralysé, il s’accrocha à mon bras.
-Je ne veux pas partir, Ellen…
L’homme se rapprochait, et le petit garçon courut vers la direction de Jim et se colla à sa taille.
-Grand frère, s’exclama le petit regardant les yeux de Jim.
Mme Lloyer hocha la tête. Selon un des paragraphes de cet orphelinat, si on adopte un enfant, on est obligé d’adopter son frère ou sa sœur.
Jim fut adopté malgré ses protestations. Il criait qu’il ne voulait pas, mais l’homme a apparemment offert le triple de ce qui lui était demandé. Il paraîtrait même que Jim ait détruit le bureau de Mme Lloyer… Nous lui faisions alors nos adieux, devant le carrosse somptueusement décoré d’or et de sculptures, faites par un artisan sûrement talentueux. Il promit de nous écrire, même si nous savons tous que nous ne nous reverrions plus jamais lorsque nous serions tous adoptés. Des larmes coulèrent sur ses joues, et il monta dans le carrosse. Tristes, nous remontions dans la chambre en regardant le lit vide de Jim, juste en bas du mien. Mme Lloyer fit alors entrer un jeune garçon au teint pâle, aux yeux clairs, penchant vers le vert jade et aux cheveux châtain lisses coupés courts, qui semblait être du même âge que James et les autres. Il était assez mignon à mon goût… Mais je devais m’abstenir de le dire à Mary, autrement elle irait fouiller son dossier.-Voilà mon petit.
Elle lui remit son uniforme et referma la porte. A ce moment là, le pauvre fut bombardé de questions :
-T’es qui toi ?
-Comment tu t’appelles ?
-Pff… Tu vas pas pouvoir remplacer Jim !
-Arrêtez, m’exclamais-je.Il répondit simplement en soupirant :
-Vous n’avez pas à savoir mon nom et qui je suis. Je ne parle pas aux lavettes dans votre genre…
Calmement, il vint s’installer sur le seul lit vide ; celui de Jim. Constatant que tous les regards étaient pointés vers lui, il commença à parler :
-Comment vous pouvez rester dans cet endroit coupé du monde ? Moi, je trouve cet endroit étouffant. Je pars dès ce soir. Oui… Vous avez pensé à vous évader ?
Cette dernière réplique choqua la plupart d’entre nous, mais pas moi : les autres pensaient qu’ici, on était logés, nourris, cultivés. Dehors il n’y avait pas grand-chose à part des voleurs.
-Si, dit le mystérieux garçon. Il y a la liberté. Il y a l’Angleterre. Il y a le monde. Il y a les gens. Il n’y a pas de limites. Il y a de l’air pur. Il n’y a pas de murs pour nous empêcher de vivre notre vie. Il y a votre ami Jim quelque part. Par delà ces murs, il y a autre chose que cet endroit, et ceci, découvrez le, et cela vous évitera aussi de vous retrouver dans le même cas qu’elle, qui a eu une femme tyrannique en tant que mère, ajouta t il en me pointant du doigt.
Comment connaissait-il ma vie ? Voyant que personne ne comprenait son point de vue, il soupira.
-Je compte m’enfuir dès ce soir… Je connais déjà le plan de cet endroit.
-Je vais te dénoncer ! déclara alors Harry, le binoclard.Le mystérieux garçon le fusilla d’un regard glacial, haussant un sourcil et esquissant un petit sourire, il lui cloua le bec :
-Vas y binoclard. Qui va donc te croire ? Tu es un menteur et tout le monde le sait.
Il avait touché juste : Harry mentait souvent pour parvenir à ses fins. Personne ne le croirait. Ravalant ses paroles, celui-ci conserva sa rage en regardant le sol.
-Ceux qui sont avec moi doivent le dire dès maintenant.
Il me regarda.
-Toi, je suis sûr que tu es avec moi. Je me trompe ?
-Je, heu… hésitais je.
-Tu viens de Londres. Tu devrais être avec moi. Tu connais la ville.
-Heu…
-Cesse d’hésiter ! m’ordonna t il. T’es avec moi, tu t’enfuis de cet endroit misérable oui ou non ?
-Oui, je… Hé mais…
-Parfait. J’aurais besoin de toi. Il faudra que tu aille chercher une corde, me coupa t il. Des clous et un marteau. Quelqu’un d’autre pour mon idée ? Parce qu’à deux nous n’avons que 5% de réussir.Après quelques instants, Kyles se leva de son lit, le regard déterminé.
-Je… Je veux découvrir Londres… Je… J’ai grandi à Canterburry, et je rêve d’aller au grand Londres, balbutia t il timidement. Alors je veux… Découvrir d’autres villes !
-Oui, moi aussi, je trouve cet endroit ennuyeux, dit alors James, qui au début ne voulait pas partir.
-Bien. Vous trois. Je reste ici, puisque je pense que la dame va revenir. Vous, déplacez vous et récupérez une corde, les matériaux demandés, deux ou trois planches, voire une, et c’est tout.Je refermais la porte après être sortie. Kyles eut l’idée d’aller à la remise, peut être que nous trouverions les outils demandés par le garçon.
-Le problème, c’est qu’après faut les transporter, souligna James.
- Mince, fais-je. Alors…
-Pas de problèmes, Ellen va faire le guet, si y’a quelqu’un qui arrive, heu, elle nous dira.Nous allions alors à la remise : mais elle était fermée.
-Zut… On fait comment alors ? demanda James en croisant les bras.
-Ben…
-Oh, les enfants, s’exclama Joan, le jardinier, que je reconnus entre mille grâce à son œil bandé. Vous pourriez m’aider, je dois transporter l’échelle qui se trouve dans la remise mais j’ai mal au dos. Vous pouvez m’aider ?
-Bien sûr… sourit malicieusement James.Joan est borgne de naissance, ce qui le l’empêche pas d’être très gentil et d’avoir la main verte. Il ouvrit la porte de la remise, et Kyles partit avec lui, transportant l’échelle.
-C’était la coïncidence de l’année, sourit James. Tiens, prends la corde et ça, ajouta t il en me tendant la corde, un marteau et une petite boîte. Et moi je prends ces deux planches en bois… Voilà, maintenant on court.
Je passais ma tête par la porte de la remise : il n’y avait personne. C’est alors que James commença à courir avec les planches, et se cognant un peu partout ; il fit tellement de bruit que je me suis fait prendre par Mina, la cuisinière.
-Qu’est ce que c’est que ce boucan !? cria t elle.
-C’est Joan, répondis je. Il a des problèmes de dos et il a fait tomber l’échelle, Kyles est parti l’aider. Moi je dois porter ça pour lui.Cette réponse satisfit Mina, qui se contenta dire que c’était bon pour cette fois. Soulagée, je retournais dans la chambre.
-Tu m’as laissée seule, boudais je.
-Désolé, souffla James les bras croisés.
-Donne moi la corde et le reste, dit l’inconnu.Le soleil avait disparu. Le ciel commençait à s’obscurcir. Les cloches sonnèrent, signe que le repas était servi. Cette semaine, ce devait être sans doute les filles qui mettaient la table. Nous descendions, là où une douce odeur nous caressait les narines. Les filles, à leurs tables habituelles, étaient déjà en train de manger. Je me mis à la table où je me mettais habituellement, il y a des années. Les autres filles semblaient se moquer de moi ; elles me regardaient en gloussant, et lorsque j’essayais de parler à quelqu’un de ma table, elles m’imitaient et riaient de plus belle. Je restais donc silencieuse. Après avoir eu un copieux repas, l’inconnu remonta en premier dans la chambre. Les filles restèrent à débarrasser, mais j’étais dispensée par Mme Lloyer qui affirmait que je venais d’arriver et que j’étais sûrement fatiguée. Bien sûr les autres filles protestèrent, puis Mary me glissa à l’oreille qu’une surprise m’attendait en haut… Je remontais donc et l’inconnu nous dit d’aller au lit, mais il fallait enlever nos uniformes et qu’on devait se débrouiller pour en trouver d’autres : je mis un pull marron et un short noir un peu grand que Mary m’avait laissé devant la porte. Je m’endormis alors avant le couvre feu, rêvant à toutes sortes de choses…
-Eh… Eh ! Lève-toi !
J’ouvris brièvement les yeux : ses yeux plongeant dans les miens, l’inconnu me fixa du regard.
-Viens, tout le monde dort.
Il descendit de mon lit et alla réveiller James et Kyles. Je descendis de mon lit en baillant. Une fois que Kyles et James furent réveillés et levés, le garçon avait entre temps fait une sorte de grappin grâce aux outils rapportés. De plus, la fenêtre donnait directement sur les remparts, le seul moyen de s’échapper.
Le garçon attacha l’extrémité au lit de James, qui était le plus près de la fenêtre, puis il lança l’autre extrémité vers derrière les remparts. Il tira sur la corde pour s’assurer de sa solidité et il se suspendit à la corde, tête en bas. Il parvint à traverser la distance entre la chambre et les remparts, qui faisait la taille de la grande cour… James se lança en deuxième. Pas de problèmes. Kyles y alla puis j’y allais. Tout se passa bien, puis il fallut sauter…-Bon… Un conseil, n’atterrissez pas sur les jambes. J’ai pris quelques draps de couvertures, ils serviront à amortir la chute.
Il sauta sans peur, et amortit sa chute grâce au drap… Je sautais et sortit le drap : j’atterris doucement. L’inconnu commença à courir : les lumières s’étaient allumées dans l’orphelinat. Kyles et James commencèrent à cavaler aussi : derrière eux, je commençais à perdre l’allure. Ils couraient trop vite, mais en voyant que l’orphelinat avait lâché les chiens, je m’encourageais à courir encore plus vite, par peur que ces chiens ne me mordent et pire encore. Arrivés à une rivière, le garçon plongea et se laissa aller dans le courant : nous faisions de même, et les chiens se contentaient d’aboyer au bord de l’eau, vaincus. La course se termina près de la ville.
-On doit être dans un petit village, supposa le garçon. Au fait, moi c’est Jack. Jack Blood.
-C’est cool comme nom, fit James. Moi c’est James O’Connell, mon nom est en fait celui d’une prof à l’orphelinat mais elle a pris soin de moi depuis petit.
-Moi c’est Kyles… Hum… Kyles Thompson.
-Je vois, dit Jack. Et toi ?
-Moi ? Heu, je m’appelle Ellen… Ellen Rozen.
-OK, je connais vos noms désormais, dit Jack. Bref, il faut qu’on nous conduise à Londres. J’ai des contacts là bas. Je pense qu’on peut prendre le ferry qui passe ici.
-On est où ? demanda Kyles.
-Dans l’Ouest, si on passe par la Tamise, on pourra revenir à Londres.Je trouvais ce garçon assez bizarre. Mignon mais bizarre. Nous demandions à plusieurs passants où se trouvait le ferry, et nous obtenions des réponses très vagues, jusqu’à arriver devant la Tamise, et le ferry allait bientôt partir : c’était le premier à partir, en effet, car la nuit était déjà passée : les teintes du soleil apparaissaient déjà. Jack nous emmena à bord, et nous nous réfugions dans une des cabines et il la ferma à clé. J’étais carrément épuisée. James et Kyles aussi. Pendant que nous allions dormir un peu, Jack allait surveiller. Au bout d’un bon bout de temps, Jack nous réveilla et nous dit que nous étions arrivés. Je regardais James, qui regardait au sol et se grattait le ventre.
Nous sortions, et la première chose vue fut Big Ben, le signe du temps, l’horloge qui donne l’heure exacte. Une fois que le ferry eut posé le pont, nous sommes descendus.-Wah, s’exclama Kyles.
-Bienvenue à Londres, sourit Jack. Bien, venez, je vais vous présenter à mes amis…6 janvier 2012 at 20:54 #1073Bah je sais pas sushi, je fais des fautes comme tout le monde ^^
6 janvier 2012 at 21:11 #1077Oh merci xD Ben en fait je sais pas…
Pour formuler mes phrases… Ben je sais pas, tu dois plonger le lecteur dans ton histoire enfin… Tu fais des descriptions… En gros tu décris ta vie quoi… Enfin jsais pas trop expliquer… ^^6 janvier 2012 at 22:40 #1080Tu veux que je te file mes cours de français, zoé ?? XD j’te jure que ça aide !! mm si c avec Mme Belendroit !!!(MDR)
noixou, tu devrais écrire un manga !!! tu dessine bien, et tu écris bien ! conseil d’amie !! (genre xp)
7 janvier 2012 at 11:12 #1085Euh… Je sais pas du tout parce que je me débrouille mal pour faire des planches…
7 janvier 2012 at 12:27 #1089Bref vous aussi postez vos textes, faut pas que je sois la seule ^^
7 janvier 2012 at 14:21 #1091Okay
Moi aussi j’ai pas beaucoup de temps, à part le week end ^^7 janvier 2012 at 16:09 #1107C’est cool Ellen
Bon y a toujours quelques petites fautes ici ou là mais c’est quand meme super ! Par contre… où ils trouvent l’argent pour prendre le ferry ? Comment ils font pour y aller directement ? o.O Enfin je sais c’est un peu fantastique mais euh je trouve ça un ptit peu bizarre x) Et puis peut etre que les sentiments de Ellen sont pas assez exprimé… Par exemple bah on sait pas trop ce qu’elle ressent quand Jim part et tout ça…
Enfin je sais que je t’embête, j’arrête pasque d’abord moi j’arriverais jamais à faire une longue histoire comme ça avec un scénario, des persos bien définis et tout et tout, alors bravo !7 janvier 2012 at 16:13 #1108Oui tu as sûrement raison, faut que j’approfondisse ça ^^
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