Le bar des petits écrivains et des lecteurs

[MikimakiModerator]

Alias Mimi3444 !

[FirstParticipant]

Hein hein ?
Bon petit contrôle de routine ,
Qui suis-je ?

[FirstParticipant]

Alors alors ?
J’t'écoute !
(je crois que je suis pas sourde **)

[FirstParticipant]

Regardez mon lapin de ponctuation :

/) /)
(o.o)
(^^)(^^)

[noisetteParticipant]

Hou… Jsais pas faire des ptits trucs comme ça u.u

[MikimakiModerator]

Hum… ça devient hors sujet ici… o_o

[FirstParticipant]

Oui …
Mais plus personne n’a a poser son histoire alors on pourrait commenter des histoires ,non ?

[noisetteParticipant]

Oui ^^ mais j’avais dit de poster les vôtres, parce que sinon je vais poster tous mes chapitres là… x)

[AnanaSParticipant]

bah vasy, te gènes pas !!!

[noisetteParticipant]

x) Okay okay… Sans doute après…

[noisetteParticipant]

Voici donc le prochain chapitre, j’espère qu’il vous plaira. ^^

Chapitre II: Les bases du vol

Je pense que je me suis endormie pendant que nous marchions, car quand je me suis réveillée, j’étais allongée et je sentais une brise très fraîche sur ma joue. Le ciel était bleu, avec un grand soleil, sans nuage. Normal, nous sommes en été, mais malgré tout, il ne faisait pas souvent beau. Avec la lumière du soleil, j’aperçus les lieux dans lequel j’étais. Une pièce peu meublée, très lumineuse. Juste un canapé, une table, des chaises et une table basse. Je me trouvais sur le sofa, enroulée dans une couette bleue, et quelqu’un avait déposé des affaires sur la table basse ainsi qu’une assiette en porcelaine neuve avec un peu de nourriture. Je me levais. Observant que j’étais seule, je commençais à prendre les habits déposés sur la table puis je me changeais.
Une voix, puis trois se firent entendre. Je filai dans ma couette, m’enroulait dedans et je fis semblant de dormir.

- Ellen, réveille-toi, dit la voix de James.

J’ai ouvert les yeux, et je vis Jack devant moi.

-Tu t’es effondrée comme une pierre hier, soupira t il, soulagé. On a dû te transporter ici. Allez viens !

Il me tendit la main. Je scrutais son visage. Il me souriait. J’observais sa main avant de la saisir, puis il m’emmena dans une autre pièce, qui ressemblait plutôt à un grand bureau. Je vis alors Kyles et James, avec un autre, qui était plus grand que nous. Une boule restait dans ma gorge, je n’arrivais pas à parler pendant un petit moment.

-Voilà, présente toi-même.
-Je m’appelle Ellen, fais je, mal à l’aise.
-Tu vas bien ? Ne t’avise plus de faire la morte la prochaine fois ! fit James en soupirant. On pensait que tu t’étais évanouie ou un truc de genre…
-Oui, promis, pardon…

Ma mère m’avait parlé des enfants qui volaient dans les magasins ou dans les marchés. Des enfants anglais orphelins, qui se sont évadés, comme nous, ou qui vivent dans les rues depuis toujours, comme Jack ou le grand. Malgré tout, je me trouvais dans un appartement assez vide, signe qu’ils n’étaient pas comme ceux que dorment dehors. Le grand se présenta ;

« Je suis Thief. J’ai entendu dire à la grand place que Jack vous a fait évader, n’est ce pas ? Je l’avais chargé de recruter des membres, pas de vous faire évader… soupira t il. Bref… Comme ils le disent, nous devons voler pour survivre, et je travaille le plus souvent au marché noir. Tu avais une famille, avant, Ellen, alors ils devaient te prévenir de nous.
- Oui, répondis-je.

Un monde ne comptant que sur la ruse, l’agilité et la force. Ici, à Londres…

- Jack, emmène-la au marché. Je m’occupe de ces deux là. Amusez vous bien.

Avant que je puisse protester, Jack me prit par le bras et m’entraîna avec force dehors…

__________________________

Jack et moi marchions déjà depuis quelques minutes déjà. Nous étions dans une petite ruelle, sale, qui ne sentait pas très bon, avec des murs en brique. Des caisses en bois ravagées par les mites s’y trouvaient aussi. Les poubelles étaient fréquentées par de nombreux chats, qui nous regardaient passer près d’eux, sans peur. De loin, on pouvait apercevoir le marché. J’allais lui poser des questions quand il se retourna et me dit :

-Tu dois te taire, à partir de maintenant. J’ai pris un détour, pour prendre plus de temps, parce que je vole très souvent ici. Toujours à la même heure. Je ne me fais pas souvent prendre, mais les gens ont l’habitude de me voir…Aujourd’hui, ils vendent ce qu’apporte la France. On risque de pas pouvoir rapporter de quoi manger, alors il faut être discrets. Ou sinon au pire il y a les poches des gens.
-D’accord, mais c’est quoi ton plan ? je demande, assez intimidée.
-Alors, on va se séparer. Tu vas m’observer de loin. Je fais exprès de me faire voir en train de voler, les marchands me courent après, et toi en attendant tu voles tout ce que tu peux. Après, tu retournes à la base. Compris ?
-Oui… Mais je ne me sens pas capable de…
-Bien, coupa t il. Alors… Séparons-nous.

Il alla à gauche, et je courus vers la droite. Je m’éloignais de lui, mais je le surveillais du coin de l’œil. Mais à un moment, je regardais tous ces petits stands. Le bruit des gens qui marchandaient… Toute cette nourriture… Ces choses… Ah, elles me donnaient envie ! Puis dans la foule, je ne le voyais plus, tellement il y avait de monde ! Paniquée, je me disais que j’allais faire foirer le plan… Puis soudain, un marchand cria ;

« Alerte au grand voleur ! Rattrapons le!
-On a tout prévu, sale gosse ! cria un autre marchand.

Grâce à ce marchand, je pus voir Jack, qui courut vers une rue, qui semblait assez longue. Je pris dans les stands des fruits, dont les gérants étaient partis chasser Jack, légumes, accessoires et tout ce que je pus et je le fourrai dans le sac que Thief nous avait confié. J’apercevais un instrument de musique que j’avais toujours voulu avoir, un violon. Il semblait coûter assez cher. Je le mis aussi. Le sac était très lourd, dès qu’il fut rempli, je courus vers la petite rue où nous étions passés, car je ne connaissais pas d’autres chemins. Des cris et des applaudissements se firent alors entendre. Je me hissais sur une caisse en bois vide pour voir au dessus du mur ce qui se passait. De loin, je pouvais apercevoir des marchands frapper quelque chose… Une chose qui bouge, et qui crie…Ils avaient attrapé Jack!

« C’est bien fait, espèce de vaurien ! On t’a enfin attrapé, s’exclama un homme à la moustache noire en tenant Jack par les cheveux.
-Argh… fit Jack, dépité.

Je regardais la scène. Quand Jack m’aperçut, il me dit du regard de partir. Un marchand suivit son regard.

« Un autre voleur ! Attrapons le aussi ! cria t-il en me pointant du doigt.

Paniquée, je sautais précipitamment de la caisse, reprit le sac et je courais aussi vite que je pus. Les marchands étaient déjà derrière moi, à environ 600m.
Avec le sac, je ne courais plus très vite, et les marchands me rattrapaient. A chaque pas que je faisais, le sac me cognait sur le dos, me faisant atrocement souffrir. Je tournais la tête, et ils étaient à 80m de moi ! Et je regardais devant moi… Les marchands s’étaient divisés. J’étais coincée. Je regardais du coin de l’œil les deux troupes de marchands qui étaient devant et derrière moi. Ils se rapprochaient. Je savais que ce n’était ni un conte de fée, ni un rêve, je n’allais pas fermer les yeux et tout rentrerai dans l’ordre… Puis soudain un déclic. Les gens civilisés comme eux ne me suivraient sans doute pas…

Sur ma droite, un trou menant vers les égouts. Sans réfléchir, j’ai sauté dedans. Un craquement sinistre venant de ma jambe droite se fit entendre, sous l’impact de la force et la vitesse à laquelle j’ai atterri…. C’est haletant et paniquée que je courais, en boitillant un peu, vers le fond des égouts. Les marchands n’étaient pas descendus. L’eau sale qui venait sans doute des toilettes de tous les gens de Londres s’engouffrait dans mes chaussures, et me dégoûtait. L’odeur était insurmontable. Grelottante de dégoût, j’essayais de marcher le moins possible dans l’eau vaseuse.
Au bout d’un moment, j’entendis une voix…

-Ellen, t’es où ?
-Je suis là ! je crie en sursautant d’entendre ma voix résonner.
-Remonte, c’est moi.

Je reconnus la voix de Jack, mais son ton me disait « fais le contraire de ce que je te dis ». Je montais, et je vis qu’il était avec les marchands, tenu par l’oreille. J’ouvris grands mes yeux, surprise, et avant que je puisse retourner dans les égouts, une marchande me pris par les cheveux, me faisant gémir :

« Vous irez voir les gendarmes, et ça, vous le regretterez, dit la femme.

Le sac était resté sur mon épaule. Les commerçants refusaient de le reprendre car j’avais « traîné dans les égouts».Je fermais les yeux, jusqu’à ce qu’on arrive à la gendarmerie…

[MikimakiModerator]

Gyaaah c’trop bien
Suspens suspens ! x)
Bon y a encore quelques petites fautes mais pas grand chose ^^

[noisetteParticipant]

Merci Fanou! ^^

[FirstParticipant]

Trop cool on a l’histoire complète ,ça c’est génial !
Tu les réussis bien tes histoires Baobab !

[Anonyme]

Mais arrête avec tes histoires trop biiieen heeu ! J’ai le seume maintenant ! (depuis tjrs en fait ! >o<' )

T_T

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