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This topic contains 563 réponses, has 42 voix, and was last updated by Laughing-Jack Il y a 5 years, 2 months.
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11 mai 2012 at 20:47 #4347
Cool! Alors tu participes toi aussi? Bonne chance à nous deux sur toutes les (milles autres personnes a part nous) concurrents ^^
13 mai 2012 at 20:07 #4356Merci beaucoup Noisou ! ^^ Tu sais, je doute fortement de gagner, je fais surtout ça pour m’amuser ! En tout cas (oui oui, sincèrement) j’espère que ton livre va être parmis les 3 choisis !
16 juillet 2012 at 22:58 #5455
AnonymeVous allez (ou avez fait) un concours ensemble ? (en tant que concurrentes ?)
Mdrrr je demande ça 300 ans après mais bon ><'
En tout cas les petites (ou pas XD) histoires de Noisou vont me manquer… :'(
20 août 2012 at 22:32 #6709
AnonymeJ’ai fait ce petit texte tout à l’heure, mais j’avais pas beaucoup d’idée :
Je me réveille, je sors de mon lit, je m’habille en vitesse, je déchire mon t-shirt mais je dis :
“Je t’aime”Je pars prendre mon petit déjeuner, sans faire attention, mes cheveux trempent dans mes céréales, j’ai du lait pleins les cheveux mais je dis :
“Je t’aime”Je cours dans la salle de bain, je glisse sur un savon, je tombe par terre mais je dis :
“Je t’aime”Je cherche mes clefs, je ne les trouve pas, je suis en retard mais je dis :
“Je t’aime”Je sors de chez moi, et je me trouve face à face, avec le garçon que j’aime, mais je dis :
“T’as un bouton sur le menton !”
23 août 2012 at 17:45 #6943xD sale tricheuse !
et l’autre ? tu l’envoie ? :323 août 2012 at 17:56 #6946moi aussi j’aimerais bien écrire une histoire sur la science-fiction… :3
ah, au fait, pour ceux qui aiment “Lou !” (BD géniale) je pense que le tome 6 va bientôt sortir, j’ai déjà des extraits chaque mois dans mon magasine “Tchô!” xD dedans y a des extraits de toutes sortent de BDs qui sont toutes en général trop bien23 août 2012 at 17:57 #6947pour la premiere phrase je parlais pour la page d’avant, par rapport a jeannou xD
24 août 2012 at 11:30 #7057XD Il est marrant ton texte hib’!
Allez, avant de partir, je vous poste un texte de mon invention. J’espère que vous l’apprécierez. Un peu tragique, mais c’est pour un concours de nouvelles sur “Tout a une fin” et mon histoire se nomme “Tout a une fin, même les rêves.”
Enjoy ♪“Fin août. Accoudée sur mon bureau, face à la fenêtre, j’observais l’averse se défouler après un long et chaud été. Voir la pluie dégouliner sur les toits des maisons du quartier pavillonnaire me laissait mélancolique. Pourquoi, pourquoi, oh grand pourquoi le temps s’écoulait-il si vite? Ma mère toqua à la porte.
“Ellen, ma chérie, tu es là dedans depuis des heures. Tu révises? Je sais que tu aimes beaucoup les études, mais, quand même! Allez, descends regarder la télé avec tes frères. Ils t’appellent, tu sais!
Puis elle s’éloigna jusqu’à ce que je n’entende plus ses pas résonner dans le couloir. Réviser? Pas besoin… J’étais en réalité en train de lire le contenu d’une pochette, orné d’anneaux, de cupcakes et graffitis de tous genre. Il disait qu’il m’aimait… Et moi aussi… Pendant trois semaines, je lui ai conté toutes mes journées, et lui les siennes. Toute cette histoire lui a coûté. Puis, un jour…
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Ces lettres commencèrent à me parvenir dans ma boîte aux lettres le soir de mon anniversaire, après toutes les festivités, dans la grande demeure de vacances de ma famille, à Fécamp. Je m’en souviens comme si c’était hier. Une enveloppe délicatement parfumée, blanche sur le derrière, noire derrière, avec un petit dessin d’une sorte de conque, mais surtout, sans timbre et sans nom. Accompagnée d’une petite boîte qui contenait un joli flacon de parfum qui sentait absolument bon. Elle s’adressait à “Mlle Ellen que j’aimerais connaître.” Je m’étais précipitée dans ma chambre. Je m’étais assise sur mon pouf, et j’ouvris délicatement la lettre. La feuille était argentée, et l’écriture était de couleur noire, lisible et soignée.
“Chère Ellen,
Cela peut sembler incongru qu’une lettre vous parvienne sans que vous ne connaissiez l’expéditeur. En effet. De plus il n’y a pas de timbre… Vous pouvez conclure que nous nous connaissons. Ou pas…
Du moins, je vous connais presque. JE vous observe d’un oeil très discret, mais attentif. Ne soyez pas effrayée. Si vous voulez me répondre, vous n’aurez qu’à déposer votre écrit dans votre boîte aux lettres. Ne vous fatiguez pas à la surveiller toute la journée, car, je me ferai très discret, et jamais vous ne me verrez. Pardonnez moi si je peux sembler brusque, mais, je voudrais garder l’anonymat. J’espère que votre curiosité ne vous piquera pas trop… En tous les cas, je suis heureux de pouvoir, ainsi, vous parler sans vous faire face. J’ai très peur de vous faire face, vous savez… En été, je ne peux sortir de chez moi. J’espère que vous comprendrez. Au fait, puisque je connais votre logique, je me permettrais de préciser que je suis bien un garçon. Je serai heureux de pouvoir entretenir une correspondance avec vous. Je suppose que vous devez aimer votre cadeau, du moins je l’espère, et je vous souhaite un merveilleux anniversaire pour vos quinze ans.Quelqu’un qui vous admire et aimerai vous connaître. W
Cette lettre m’avait laissée perplexe. Et, comment ça, il ne peut pas sortir? Je ne comprenais pas, mais tâchais de lui répondre. C’était une blague? Je m’armais d’une feuille de classeur, qui n’était en effet pas très classe, mais efficace, une enveloppe et d’un stylo. Je me creusais la tête. Que dire? Je décidais de rendre le parfum, que je remis dans sa petit boîte. Après deux heures de travail, environ cent boulettes de papier dans ma corbeille et de recherches dans le dictionnaire, je finis par être fière de mon travail. J’avais collé de petites perles et fleurs, et je recopiais sur une feuille simple blanche.
Cher “W”
Je suis désolée, mais je ne veux pas d’une correspondance. Surtout avec un inconnu. J’ai été élevée dans un environnement où l’inconnu n’existe pas. Et ne me fait pas peur pour autant. Je n’ai seulement pas de place dans ma vie pour quelqu’un qui aimerai seulement me connaître, et non me rencontrer. Qu’est ce qui t’empêche de sortir de chez toi? Je n’ai pas à écouter les broutilles d’un garçon en manque d’amis. Et tu dois sûrement te tromper de personne. Voilà.
Ellen, oui, c’est bien moi.”Je descendis les escaliers de bois où mes parents et mes frères jumeaux dînaient encore avec les amis de mon père. J’ouvris la porte et déposais la lettre dans la boîte, puis je remontais dans ma chambre, vaquant à mes occupations. Néanmoins, j’étais impatiente de sa réponse. Le lendemain, je courais comme une folle vers la boîte aux lettres dès mon réveil. Mon enveloppe avait été troquée par une autre, noire. Heureuse, je sautillais en la prenant. Je l’ouvris sur le champ, et pus lire une lettre écrite d’une main tremblante.
“Si vous me permettez de vous tutoyer, j’aimerai bien. Ta lettre m’a brisé… Je ne te pensais pas si agressive… J’en ai tellement été bouleversé que j’ai cru que ce n’était pas toi qui l’avait écrite. Est ce bien toi, la fille qui habite dans une immense maison blanche et faite de bois? Est ce toi, qui pédale sur un vélo dans toute la ville, laissant tes longs cheveux noirs flotter au gré du vent qui te fouette le visage? Si ce n’est pas toi, la fille que j’ai vu profiter de la vie, alors, c’est que je ne suis qu’un garçon aveugle… Je ne suis pas un inconnu. Je peux te donner mon nom. Will Hawk. Comme je ne suis plus un inconnu, peux-tu être plus aimable…? Si non, ne réponds pas à cette lettre, je comprendrais.
Will, qui espère.”
Je ne pensais pas avoir blessé ce jeune homme si profondément. Je lui écris une lettre d’excuse, que je déposais dans la boîte. Il me répondit le lendemain. Il était décidément très enjoué… Pendant une semaine, nous parlions ainsi. Je lui parlais de moi, d’Ernest et de Wilfried, mes deux petits frères jumeaux. Il me raconta qu’il vivait dans un modeste appartement, et qu’il ne pouvait pas sortir. Quand je lui en avait demandé la raison, il avait esquivé la question. Je finis par ignorer cette raison jusqu’à ce qu’un beau jour de soleil, je l’invitais à venir à la mer, sur les galets que mes plantes de pieds adoraient tant. Il me répondit qu’il ne viendrait que la nuit, vers environ vingt-et-une heures. J’acceptais.
Assise sur ma serviette, contemplant la Manche, je sentis une main se poser sur mon épaule. Un grand jeune homme, à la peau très blanche, de grands yeux verts clairs, un nez droit, de minces lèvres, une cicatrice sur la joue droite et aux cheveux noirs bouclés me souriait. Il était habillé normalement, vêtu d’un simple tee shirt blanc avec une photo représentant la libération de la Bastille et d’un jean noir ainsi que des chaussures marron.“Je suis heureux d’enfin pouvoir te connaître… Ellen, dit-il en s’asseyant près de moi.
-…Will? hasardais-je à dire, perplexe.
-C’est moi, dit-il d’une voix timide en baissant la tête. Je suis désolé de ne pas être venu directement, mais, je n’aime pas le jour.
-Pourquoi? me risquais-je à demander.
-Pour rien, me répondit-il en se levant brusquement. Dis… Tu ne voudrais pas venir te promener avec moi? Il n’y a que la nuit où je peux aller me balader. Tu viens?Il me tendit la main, que je saisis doucement. Il m’entraîna dans les rues familières de la ville, en passant près du phare, et aux autres endroits de la ville. Il me raconta de sa voix chaude et timide ce qu’il aimait faire, nous faisions discrètement connaissance, comme si nous n’osions pas poser les questions directement. La ville semblait différente avec lui. Il m’offrit une glace et m’avoua qu’il savait que j’adorais ça, ce qui était vrai. Cela ne me choqua pas plus que ça. Nous nous baladions, comme deux mouettes, libres, sentant la brise marine balayer mes cheveux. Il était beau, gentil, intéressant. J’appris qu’il vivait chez sa mère, et que son père était mort il y a longtemps et que son rêve était de devenir écrivain. Je l’encourageais dans cette voie. Il n’avait aucune famille, et suivait des cours chez lui. Je lui dis que j’avais tout dit à propos de ma vie, ce qui le fit rire légèrement: il était léger, mélodieux, et étrangement, je frissonnais en l’entendant rire. Il me rassura en disant qu’il ne s’intéressait pas forcément riches en détails. Je le faisais rire, il me faisait rire. J’aimais sa compagnie. Puis, il me raccompagna chez moi, et je lui donnais mon numéro de portable. Il éclata de rire et dit d’une voix amusée:
-Je n’y avais même pas pensé. Eh bien, je prends note, mademoiselle. Nous nous voyons bientôt. Au revoir. Ah, au fait…
Il déposa dans ma main une bague de saphir et la flacon de parfum. Je me sentis rougir.
-Je les avait achetés pour toi. Le parfum, c’est sûr que je ne le mettrais jamais, et ce n’est pas le style de ma mère. La bague m’est très chère. Je suis sûr qu’elle t’ira à merveille. Bonne soirée, Ellen…
-Bonne soirée, Will.Il s’éloigna et partit en se retournant parfois et me souriait en me voyant encore près de ma porte. Puis, je ne le vis plus.
Un jour de grande chaleur où le soleil tapait très fort, j’étais partie faire ma balade en vélo habituelle à 7h du matin. Dans une petite ruelle un peu sale, je marchais tranquillement, jusqu’à ce que deux gars d’environ vingt ans m’encerclèrent.
“Hey, poupée, dit l’un d’entre eux d’une voix suave. Tu sais, c’est pas bien de se balader seule à cette heure ci.
-Laissez moi passer, exigeais-je.
-Oh, la princesse veut passer, répliqua l’autre dans mon dos d’une voix imitant celle d’une fille. Donne nous ton vélo et ce que tu as dans tes poches.
-Je n’ai rien, laissez moi tranquille!Je tentais de remonter sur mon vélo et de rouler le plus vite possible quand celui de derrière mit un bâton dans ma roue arrière, et tirèrent ma jambe pour que je tombe. A terre, je me mis à gémir.
“Laissez moi, laissez moi…
-Laissez la tranquille, intervint la voix ferme de Will. Sinon je vous dénonce pour, heu, vos activités illégales dans ma cave…Ils se retournèrent, et je pus voir que Will se tenait derrière eux, une batte à la main.
“On a un marché, alors, petit. Tu ne dénonce rien à ce trafic de petit chats et on fera pas de mal à la fille, c’est ça? grinça le premier homme en s’avançant.
-Oui.
-Allez, viens on s’arrache, cracha le second. Elle n’a même pas de poche! Prenons son vélo et déguerpissons.Sur ses mots, l’homme saisit mon vélo et l’emporta avec lui, suivit du premier. Will se précipita vers moi et me serra dans ses bras.
-Tu vas bien? demanda-t-il, inquiet.
-Oui… Mais, comment savais-tu où j’étais?
-Je te surveille tout le temps, au cas où des trucs comme ça arriveraient… Je suis soulagé… Que… Tu… Ailles bien…
-Will!Il s’effondra sur moi, et je vis que sa peau se couvrait d’étranges taches brunes.. Ses cils commençaient à tomber doucement sur mon tee shirt, ainsi que ses jolies boucles noires. Inconscient, il était en train de se détruire…! Je le déposais à l’ombre en espérant que tout se passe bien, mais, comme j’étais loin de chez moi, je paniquais intérieurement. Bon, tout va bien aller. Allez. Je me précipitais dans la rue, et demandait à une femme d’une quarantaines d’années de me prêter son portable. Je lui en expliquais la raison, que mon ami était en train de mourir dans une ruelle, et elle appela l’ambulance. Je retournais près de lui, et j’attendis l’ambulance en l’observant d’un oeil inquiet. Lorsque l’ambulance arriva, je me précipitais et observa que beaucoup de cheveux étaient tombés. L’ambulancier secoua la tête avec un “oh non” et nous emmena à l’hôpital le plus proche. Je restais dans la salle d’attente pendant près de deux heures…
Dans sa chambre, le médecin m’annonça que Will était atteint de la maladie de Xeroderma pigmentosum, qui était que sa peau ne supportait pas le soleil. Aujourd’hui, le soleil tapait tellement fort qu’il n’aurait pas pu résister. Je pleurais pendant près d’une heure. Le médecin me dit qu’il était condamné. Il allait rester dans cette chambre, stores fermés. Sa mère travaillait énormément, elle ne pouvait venir le voir que “plus tard”… Il ouvrit les yeux dans l’après midi, et dit d’une voix tremblante:
“Je suis désolé de ne pas te l’avoir dit, je pensais que tu me prendrais pour un alien…
-Will, jamais… répondis-je, au bord des larmes.
-Je vais mourir, je sais, dit-il avec un pâle sourire. J’aurais été heureux de te rencontrer… Au moins… J’aurais été heureux.J’observais ce silence avec tristesse. Puis, soudainement, il se leva péniblement et m’embrassa. Puis le lendemain, il était mort, je ne sais pourquoi. J’avais pleuré. Nous étions rentrés sous mes supplications. Je me suis sentie coupable. Je me demandais s’il savait qu’il allait mourir… Ou était-ce ma faute? Encore aujourd’hui, je me sens mal…
____________
“ELLEN! Veux-tu bien descendre maintenant? hurla ma mère du salon. Maintenant, ça SUFFIT!”
Je n’ai jamais parlé de rien à mes parents. Ce qui me reste de Will, ce sont ses lettres, parfumées et bien écrites, une bague de saphir, du parfum et des photos. Un jour, je te promets, Will, je réaliserai ton rêve de devenir écrivain. Je te le promets. Ce sera ma compensation, pour moi, de t’avoir peut être ôté la vie.”
24 août 2012 at 13:11 #7065argh c’est tristissime ellenou T-T
24 août 2012 at 18:36 #7088Owwwh…
25 août 2012 at 14:03 #7137
AnonymeC’est horrible ToT
Sinon tu as beaucoup d’imagination et tes phrases sont bien formées !
25 août 2012 at 15:41 #7155
AnonymeBon j’ai créer une petite histoire vite fait y’a pas longtemps, bon elle est simple, voir nulle mais je n’avais pas beaucoup d’idées ce soir là –”
Je me suis inspirée d’un film d’horreur qui s’appelle : Scream 4 (interdit au moins de 12 ans, pour les plus jeunes, ne regardez pas ce film car certaines scènes peut peut-être vous choquer !) :
C’était dans une belle maison de campagne, en Normandie, où 2 jeunes filles qui étaient cousines passaient leurs vacances.
Cette maison était entourée d’un grand champ de blé qui était devenu en à peine quelques jours, un grand et beau champs de meules de foin où ces jeunes filles aimaient s’amuser le soir avant de dîner.
Un soir, vers 22h30, après leur dîner, elles partirent seules faire une balade près d’un bois.
L’une des deux aperçut au loin une silhouette étrange qui semblait les suivre, mais celle-ci ne dit rien à sa cousine pour ne pas l’inquiéter.
Une fois leur balade finie, elles rentrèrent tranquillement dans leur maison, et passèrent une soirée à rire et s’amuser.
A minuit passé, elles partirent se coucher car elles étaient fatiguées par la magnifique journée d’été qu’elles venaient de passer !
Dans la nuit, celle qui avait aperçut l’étrange silhouette se leva pour boire. Elle partit dans la salle de bain car elle était vraiment trop fatiguée pour descendre jusqu’à la cuisine.
Soudain, elle entendit un bruit de pas, comme si quelqu’un montait les escaliers, ce qui était impossible car personne ne dormait en bas. Elle se dit : “Non c’est mon imagination qui me joue des tours, c’est rien, je repars dans la chambre et tout ira à merveille”
Elle regarda très discrètement dans le couloir, voir s’il n’y avait rien d’anormal. Puis elle aperçut la même silhouette lors de sa balade la veille avec sa cousine. Cette affreuse ombre se dirigeait dans la chambre de sa cousine ! Elle faillit pousser un cri mais elle se dit : “Il pourrait se retourner et venir vers moi, il ne faut pas qu’il me voit”.
Prise par la peur et la panique, elle ne sut quoi faire, elle prit le premier objet assez lourd qu’elle put voir, pouvant assommer cet inconnu, elle prit le risque de perdre sa vie pour sa cousine, car elle vit l’inconnu saisir une sorte de grosse lame et la lever au dessus de la tête de sa cousine, qui elle était partie dans un profond sommeil.
Elle ne put distingué l’objet que tenait l’inconnu elle était encore très fatiguée. Elle courut levant avec difficulté et d’une main l’objet servant à assommer l’étranger, mais trop tard, il se retourna et celle-ci se trouva face à un vrai tueur, portant une cape noire , le masque du “Ghost Face” et tenant dans sa main droite, un énorme poignard plein de sang. Elle croyait que sa cousine était avait quitté ce monde, le tueur la fixa, et se mit à la poursuivre dans toute la maison, elle criait de toute ses forces en espérant que quelqu’un se réveillerait pour l’aider, mais personne ne se réveillait, elle pensait que le tueur avait eu assez de temps pour tuer toute sa famille, et qu’elle était la seule survivante !
Elle faillit s’arrêter de courir, car elle se disait que cela ne servait à rien de continuer à courir et d’avoir peur, et que se laisser tuer serait plus simple.
Elle, qui faillit se laisser emporter par la mort eu la brillante idée de courir jusqu’à la cuisine, de prendre le premier couteau venu, ce qu’elle fit sans plus tarder, elle courut dans la cuisine, pris le premier et assez gros couteau se retourna vers le tueur, et le tua en fermant les yeux pour ne pas voir son acte qui l’écœurait.
Le tueur tomba lourdement par terre. Elle se retrouvait seule, dans le noir, dans le silence, dans la nuit, elle pleura, croyant que sa famille était partie pour toujours, loin d’elle, sans pouvoir rien y faire…
Elle courut voir sa cousine, celle qu’elle avait vu se faire poignardé, pour lui dire au revoir une dernière fois, prise par l’horreur, la tristesse et la colère et la vitesse, elle tomba dans les escaliers et
-” Héééoo ?! Tu te réveilles ? Ça fait une heure qu’on t’attend, qu’est-ce que tu fais ??
Elle se réveilla en sursaut, effrayé mais heureuse de ne pas tout avoir perdu, se leva aussi vite qu’elle put, prit sa cousine dans ses bras et lui dit : “Je t’aime”.
~ FIN ~
25 août 2012 at 22:23 #7168Oh c’est tout cool !
Y a toujours quelques petits soucis de conjugaison mais rien de grave, c’est sympa à lire en tout cas ^^26 août 2012 at 01:48 #7180alors voici une histoire en totale impro : quand j ecris ca je n ai que le debut en tete XD ! enfin bon la voici l histoire :
Prologue
Il etait une fois (comme dans toutes les histoire quoi) sur une planete maudite semblable a la terre , dans une galaxie inconnue et lointaine , dont les habitants ressemblaient etrangement aux humains,(On en a marre de la description ! On veut de l action !) un renard extraterrestre multicolor , un multinard de 15 ans , nommé Adminard , allait vivre une incroyable aventure mais il ne le savait pas encore …
(P.S. : pour votre confort visuel nous avons traduit ce que disent les personnages)
26 août 2012 at 02:20 #7181Capitre 1 : Le depart
-Bon j y vais maman !
-ou mon cheri ? repondit sa mere au jeune adminard
-A l aventuere maman ! je te l ai dit hier maman ! >:(
-QUOI ?!?
-Bah oui je pars en mer avec mes amis Mikida , Shericerf , Zewaychat , Noilion et les autres !
- …?
et la mere de adminard le sèras fort dans ses bras et lui souflas :
-je t aime ! reviens moi en 1 seul morceau ! donne moi de tes nouvelles d accord ?
-oui c est promis !
Et Adminard sortit de son beau terrier et rejoint ses amis au port .
- Eh ! Coucou Adminard ! hurla shericerf
- Coucou les gars ! Ca va les amis ?
- Oh ! Oui !!!!! répondirent tous ses amis en coeur !
- Bon on embarque la ? J en ai marre d attendre la ! cria Mikida
Et … ils embarquerent tous , les uns apres les autres .
-FIN- du chapitre 1
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