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shiny Il y a 2 years, 1 month.
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Vous l’avez attendu, la voila.
Le sujet du jour ce sera Bakemonogatari. Alors je le présenterais pas et ça pour la simple et bonne raison que @halias l’a déjà fait. Mais qu’est ce que je vais faire alors ?
Et bah je vais faire une analisation constructive.Donc pour commencer le synopsis :
«Bakemonogatari, c’est l’histoire de Koyomi Araragi, un étudiant de troisième année qui est presque un être humain dans le sens où il fut un vampire par le passé ! L’histoire commence le jour où il voit tomber des escaliers l’une de ses camarades de classe, Hitagi Senjôgahara. Il la sauve d’une chute périlleuse, mais, à la plus grande surprise de Koyomi, celle-ci ne pèse rien (ou presque) ! Après quoi, cette dernière, d’habitude silencieuse, le menace et lui intime de garder le silence. Ce dernier refuse de rester indifférent et lui propose de l’aider à résoudre son problème.»
(Histoire que ceux qui vont lire cette analyse sache de quoi ça parle)Donc déjà ça vole pas haut* mais comme juger un livre à sa couverture c’est pas bien, faut analyser le contenue des épisodes et en gentleman que je suis, je l’ai fait pour vous.
Au niveau du contenu de la série on peut dire dans les grandes lignes qu’il est bien. Mais dans les grandes lignes seulement parce que y’a plein de petits défauts qui rendent l’anime vraiment lourd.
Le premier défaut, c’est les scènes qui durent la moitié d’un épisode ou il ne se passe absolument rien. A la fin des ces scènes, on est juste heureux d’apprendre que X aime les glaces. Que l’on m’explique en quoi ça fait avancer l’histoire d’autant que la fin des ces pertes de temps résulte rarement d’une scène utile à l’histoire. On à le héros qui rentre chez lui fatigué d’avoir discutaillé avec une des nombreuse filles de son harem qui s’agrandit de saison en saison. Ces scènes la contraste cependant avec d’autre scène comme le premier épisode de Owarimonogatari ou il ne se passe également rien, mais qui sont ici constructive et donc intéressantes. On peut voir ce contraste comme un charme de l’anime, mais à force ça devient rapidement lourd.
Ensuite parlons des scènes d’actions. On va donc pour les saisons 1 et 2 avoir à chaque fois avoir le même schéma c’est à dire Rararagi rencontre une fille qui est affectée par un problème surnaturel.
Arararagi va résoudre le problème dans le sang ou les larmes (au choix) histoire de faire dramatique. Et cette fille va gentiment se faire enrôler dans le très privé Araragi’s fan club. Donc hormis ce schéma qui devient plus que lourd à la fin de ses deux longues saisons. Les arcs en eux même sont variés et arrive à casser le coté monotone de ce début d’anime. Pour ma part, j’ai trouvé que les arcs de Nadeko était constamment plus intéressant et plus travaillés que les autres. Donc les 2 premières saisons sont nul, mais quand est-il du reste ? On à donc ensuite Hanamonogatari, Tsukimonogatari et enfin celle qui sort en ce moment Owarimonogatari. C’est trois saisons sont bien, mais ont un problème de gestion de temps, en fait on va avoir 3 épisodes de mise en place contre seulement 2 pour les péripéties (a noter que ce défaut de temps ce fait aussi de la saison 1 à 2). Et les scène d’action sont assez rapide, ont capte pas forcément ce qui ce passe la fautes aux couleurs flashy qui nous harcèlent les yeux et la trame de l’histoire qui va tout d’un coup super vite «parce que faut impérativement respecter les 5 épisodes et qu’on à trop trainé sur le début» ou du moins, c’est la sensation que ça donne. Les problématiques en elles même sont bien ficelées et assez prenantes bien que la dernière sortie soit un peu décevantes a mon goût.Concernant les personnages, je m’attarderais pas dessus tellement ils sont énervants on a en fait les personnages classique d’un harem : la tsundere, la fille intelligente, la manipulatrice, la moe, la petite soeur (présente en deux exemplaires pour encore plus de scènes cocasses), la sportive, l’ami d’enfance, la fille de 5 ans.
Le héros quand à lui est débile mais super courageux, super beau, super gentil,…Concernant l’ost, il ne m’a tout simplement pas marquer cependant et je dois l’avouer, les openings et endings sont super.
Conclusion : Bakemonogatari est un bon anime avec une bonne histoire mais qui est malheureusement casser par quelques petits défauts qui n’ont pas su être corriger
*Qu’est ce que je suis drôle !
1h sur Fukkireta sans m’en lasser… je pense que je vais tenter les dix heures.Ok, maintenant que j’ai tout lu, je suis définitivement contre.
Et je pourrais dire que soit tu n’as rien compris à l’anime, soit tu es trop borné pour apprécier un excellent anime ou pour faire l’effort de rentrer dans un univers.Après, y’a plein de choses dont t’as pas parlé, notamment de l’animation, t’as pas approfondi pleins de trucs (les personnages, les trames scénaristiques) et surtout et ce qui m’a le plus dérangé -et ce qui me fait dire que t’as pas vraiment fait une critique, mais surtout un “relevé de défauts”- c’est que t’as fait aucune différence entre chaque saison voire arc narratif pour la saison 3, étant donné que chaque lecture, enjeux, découpages des plans et animation change de manière plus ou moins significative à chaque fois.
D’après ça, il est clair que Monogatari, même si t’as pas aimé (ce que je peux comprendre) ne peut pas être perçu comme un anime lambda et que chacun aura son interprétation du truc, et puis pour une critique que tu potasses depuis quelques temps je trouve que c’est pas très bien argumenté.
D’ailleurs tu dis “un anime avec une bonne histoire” mais quelques lignes plus haut tu critiques “Le premier défaut, c’est les scènes qui durent la moitié d’un épisode ou il ne se passe absolument rien. A la fin des ces scènes, on est juste heureux d’apprendre que X aime les glaces.”Hum, les scènes philosophiques/ de réflexions/ inutiles sont probablement un atout majeur de l’histoire bro, elles permettent un background solide et une caractérisation du personnage, alors OUI MOI J’AIME CA VOILA.
Et puis j’avais lu quelque part que quand on perdait de manière flagrante son objectivité à propos de quelque chose c’est parce qu’on est un fan, c’est tout. Bah franchement je suis pas d’accord parce que MONOGATARI C’EST TROP BIEN
Et puis franchement @Ralaka, ç vient d’où ton istoire sur les soeurs ? è.é
Je ne sais pas si je viens de me prendre une des plus grosses baffes audio-visuelles de ma vie ou si c’était nul. En tout cas ce qui est sûr c’est que j’ai pas perdu 6H de ma vie.
La critique soon. Le temps que mon cerveau repose et que je vois les épisodes récapitulatifs pour tout comprendre.Ok, maintenant que j’ai tout lu, je suis définitivement contre.
Et je pourrais dire que soit tu n’as rien compris à l’anime, soit tu es trop borné pour apprécier un excellent anime ou pour faire l’effort de rentrer dans un univers.4) : A eu la flemme de faire un truc détaillée et est en état de choc psychologique.
L’arc d’anime le plus hard/dégeu/malsain que j’ai jamais regardé.
J’ai commencé une série entre temps pour me changer les idées tellement la fin est immonde.
Pour rappel : another, mirai nikki, school days ça me fait rire.Donc fatalement flemme + ça ; voilà ce que ça donne.
Et ce soir je commence l’arc 3.
Aaaaah t’avais pas vu Youth Litterature ?!
Pour la peine je te renie.
KYOUSOGIGA
Synopsis:
Kyousogiga c’est l’histoire d’un mec qui a le pouvoir de donner vie à des dessins. A cause de ça, les gens qui habitent près de lui et dans les autres mondes (il y en a 12 en tout) le craignent. Du coup, le mec décide de se créer un monde à lui (Kyoto Miroir) et de partir y vivre avec sa famille composée de sa femme, Koto, un lapin noir qui possède le corps d’une déesse, d’un garçon suicidaire que le mec a recueilli, d’une enfant démon et d’un autre enfant qui passe son temps à apprendre.
Quelques temps plus tard, alors que tout se passe bien dans ce nouveau monde où rien ne meurt, rien ne casse, rien ne naît, Koto doit s’en aller avec le père car sa période d’emprunt du corps de la déesse va expirer ce qui fait que les 3 enfants vont rester seuls dans ce monde.
Alors qu’ils sont désormais adultes et en charge de Kyoto Miroir, les 3 enfants (qui sont plus des enfants maintenant) accueillent une fillette qui apparaît en provoquant à moitié l’apocalypse dans leur monde. Cette fillette n’est autre que la fille légitime du mec et de la déesse, et par conséquent leur soeur, qui recherche à tout prix sa mère, portée disparue depuis qu’elle a quitté Kyoto Miroir.Kyousogiga est donc une série animée de 10 épisodes de 25 minutes sortie en 2012 avec une histoire compliquée.
Ce qu’on relève tout d’abord en regardant Kyousogiga c’est que le style graphique est vraiment beau. On a plusieurs effets de mise en scène et d’animation qui vous front exploser la rétine et ce dans pratiquement n’importe quel contexte ou situation. Le fait de représenter les décors en “dessins” rend le tout trop classe et offre un contraste sympa avec les personnages qui font plus “réels” malgré le tout un peu cartoon.
En plus de nous offrir une image magnifique, le staff s’est dit que ce serait cool de prendre le temps de réfléchir au plans et à leur symbolique, mais ça, j’y reviendrai.
C bôôôMais contrairement à ça le chara design, toujours relativement soigné, sera pas toujours top étant donné que pour des scènes d’action pas mal rythmées les corps auront un peu tendance à se déformer et même dans des moments “calmes” on pourra reprocher quelques défauts aux dessins (faute au temps de création de l’anime et des effectifs puisque c’est un anime de la Toei et quand t’as vu ShiroBako tu sais comment c’est dur de tenir des délais et de faire de la qualité pour un anime).
Ensuite, les musiques, qui sont tout bonnement excellentes. Elles sont parfaites pour les situations, diversifiées et vraiment magnifiques. L’opening je n’en parle pas, écoutez le plutôt:
Au niveau des personnages, aucun ne se démarque particulièrement, hormis le père qui pour moi est un des personnages les plus vrais et symboliques que j’ai pu voir jusqu’à maintenant.
Ainsi, alors que Kyousogiga est dans la forme vraiment un petit bijou (sauf rares exceptions) qu’est ce que ça donne dans le fond ?
Dans le fond, Kyousogiga c’est un peu galère à comprendre et pas toujours du même niveau que la forme.
Le principal reproche que je peux faire à cette série c’est le nombre d’épisodes. En effet, sur 10 épisodes 5 vont servir de présentation aux divers personnages en faisant des apports entre “vie passée/vie présente” et même si ces épisodes sont indispensables à l’anime, 5 épisodes ensuite pour développer ton histoire et y apporter toutes les clés c’est trop peu. L’anime aurait mérité 12 épisodes voire jusqu’à 14 pour mieux développer l’univers et pourquoi pas apporter un arc supplémentaire.De plus l’histoire, comme je l’ai déjà dit, est particulièrement compliquée à comprendre puisque l’anime nous plonge dans un monde totalement inconnu avec ses propres règles et pour compliquer un peu plus le tout l’univers est très dense et riche et regorge de petits détails -pas forcément utiles- qui au premier visionnage vont plutôt déstabiliser.
Seulement voilà, “au premier visionnage” parce que ces petits détails, une fois que t’as fini l’anime, tu les comprends et ils arrivent à te justifier tout ce que tu comprenais pas ou que t’avais pas remarqué, et ça c’est juste génial et ça fait que tu vas voir tous les épisodes OAV et récapitulatifs ou même que tu vas te refaire l’anime.Hormis ces petits défauts, Kyousogiga possède un sens dans presque chaque scène. En effet, dans Kyousogiga on retrouve pleins de plans symétriques et symboliques et dont je pourrais passer des heures à analyser, et même des références historiques dans des lieux présents dans l’anime (je pense notamment aux fenêtres “vérité et imagination”) qui sont ultra en accord avec le ton du film.
Il y a des jeux d’ombres, et tout pleins de trucs mais si il y a bien une chose intéressante dans cet anime il s’agit des relations entre les personnages. Ceux-ci entretiennent entre eux des relations assez particulières puisque l’on suit l’histoire d’une famille, mais pas liée par les liens du sang et moi j’ai trouvé vraiment intéressante l’évolution de chaque personnage par rapport aux autres ainsi que l’influence que chacun a. Par contre attention, là je vous promets quelque chose de recherché et une ambiguïté travaillée sur les liens “familiaux”, mais c’est pas non plus Little Busters, Kyousogiga reste une série d’action.Pour conclure, je dirais que Kyousogiga est un ovni conventionnel, quelque chose d’assez rare dans l’animation pour que tu t’y intéresses, mélangeant des tas de genres en un tout petit anime non fanservicé et qui de par son atmosphère te fera voyager le temps de 10 petits épisodes seulement.
C’est un peu comme Ontama et Colorful, tu tombes sur ce tout petit anime coloré rempli de merveilleux sentiments et une fois fini tu le ranges un peu mieux en évidence en espérant que quelqu’un d’autre tombe dessus un jour.
Anonyme@Adminjojo HunterxHunter est juste trop cool!:D
Mais il y a une chose que je ne comprends pas , l’épisode avec son yo-yo O-o , n’empêche que les voix japonaises sous-titré française me fait adorer , la version vf est juste nul avec ses voix!!
@Halias , pardon potto
, je n’aime pas lire quand c’est trop long , mais j’ai lu les 2 premiers paragraphe ^^
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