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16 juin 2014 at 17:38 #34041
Et alors? L’essentiel c’est que j’ai du plaisir à écrire et vous de me lire! (j’ai dit un truc profond? )
16 juin 2014 at 17:56 #34044La mélodie des étoiles
OcéanLaure courait vers une maison qu’il connaissait bien. Il y avait ses affaires (habit, toilette, etc…) L’adolescente se changea et pris un gros pull. La neige tombait sans jamais s’arrêter. Ses amis en firent autant. Seul Corentin portait un bonnet ridicule.
-Eh Corentin! C’est ta grand-mère qui l’a tricoté? s’esclaffa Melvyn
-Moi je la ramènerais pas trop à t’à place… le provoqua Corentin
Melvyn lâcha un regard noir et Corentin en fit de même. Ils se tournaient autour comme des lions affamés qui allaient se manger entre eux. Laure s’interposa entre les deux gamins qui montraient leur haine l’un envers l’autres. Corentin la poussa.
-Te mêle pas de sa, Laure! lui cria Corentin
-Écoute! Oui, Melvyn à foiré et on ne peut pas faire marche arrière! Moi aussi je suis en colère contre lui mais comme on n’a plus Mahoré on reste ensemble! C’est clair? s’énerva t-elle
Melvyn et Corentin laissaient échappé un bruit rauque, puis finalement un petit oui. Corentin parti dans la maison derrière Melvyn, qu’il bousculât comme une simple poupée russe.
-Tu crois qu’il vont en venir au poings? demanda Laure à Shaun
-C’est certain… Moi aussi j’ai beaucoup de regrets, mais je ne peut pas lui faire du mal, même si il le mérite.17 juin 2014 at 15:19 #34083t’invente ? en tout cas elle est trop bien ton histoire
17 juin 2014 at 17:40 #34088j’invente oui! je suis trop contente que quelqu’un me lise et me dise qu’il aime, vraiment!
17 juin 2014 at 19:04 #34094La mélodie des étoiles
OcéanMelvyn scrutait la mer, comme pour y déceler un poisson. Ses pieds trempait dans l’eau chaude, ce qui l’intriguait parce que, par ce temps d’hiver, l’eau serait gelée. Au lieu de ça, il s’amuse à faire peur aux petits crustacés, qui ripostaient ou s’en allaient. Melvyn s’arrêta et continua de regarder la mer, dans laquelle se déposé les rayon du soleil. C’était l’aube au doigts de rose. Des doux rayon qui s’endormais sur les vagues ressortait un aileron. L’adolescent se leva et regarda cet aileron. Son reflexe fut de partir de l’eau, puis de voir de quel espèce il appartenais. Mais l’aileron plongea. Ce fut un monstre qui sorti de l’eau. Se n’était pas un aileron mais la nageoire de ce gros poisson. Mais avec ce que Melvyn avait vu, difficile de penser que c’était un poisson. On aurait dit le monstre du Loch Ness. Melvyn puisa dans sa tête l’image de ce mo monstre sortant de cette eaux chaudes. Aucun doute. Mais ce qui piquait sa curiosité était qu’il avait vue un gamin dessus. Au cheveux blanc comme la neige. Melvyn parti comme si il avait vu un fantôme. Il ouvrait de grands yeux consternés. Il retourna sa maison et s’endormis, en pensent à ce petit garçon sur son dos. Mais il était trop épuisé et s’endormi, sombrant dans les bras de Morphée, tout doucement…
26 juin 2014 at 21:51 #34259La mélodie des étoiles
L’eau pur des rois des océansMelvyn fit part de sa rencontre avec le monstre de l’océan avec ce gamin sur son dos. Personne ne le cru. On le laissa de côté, comme un vulgaire jouet devenu inutile avec le temps. Alors il passa ses journées à faire des recherches pendant que les autres trouvaient des plans et des réponses, qui ne virent jamais leur yeux effrayés. Puis, un jour, il se fabriqua un bateau et parti sur ces flots calmes, endormis par les rayons chauds posés sur la mer transparente. Seul les coraux et les couleurs vivent des poisson venait se permettre de briser se cristal. Les poissons faisaient dans va-et-viens à travers les coraux au douces couleurs pastel tandis que les algues se laissaient bercer par les douces notes du courant. Melvyn se concentrait plus sur sa boussole et sa carte, tandis que sa voile ne s’agitait que lorsqu’un piètre alizé venait pour l’enlever du mat et la ravir.
Voila près de quatre heures qu’il voyageais. A présent, il dormais. Se laissant bercer par les vagues. Soudain, son bateau tangua. Sans qu’il sans aperçoive, l’adolescent était à la mer. Encore endormis, il n’avait pas la force de remonter à la surface. Il ne pouvait plus respirer. Il fermis les yeux. Des bulles s’échappaient de sa bouche. Il coulait, lentement, puis Melvyn toucha le fond. Du sable s’envola, comme une simple poussière, éclairé par les plus grande lumière du soleil. Au fond de la mer, tout est froid. Aucun vie, mais aucun corps. Le bleu transparent et désormais un bleu profond, dont la lumière n’est que de simple rayon bleu, qui s’efface dans l’océan. Une main accrocha la sienne. Une main froide. La surface lui revint et lui explosa dans les tympans. Il était en vie. Comment? Il ne savait pas. Deux visages était fixés sur lui, mais il s’endormis pour de bon sans pouvoir les identifier.
Lorsque Melvyn se réveilla, il remarqua qu’il n’était pas sur son bateau, mais sur des écailles. De couleur bleue, un peu verte. Une main le maintenait sur ces écailles glissantes. Un gamin. Vers les onze, douze ans. Un sourire d’ange, des cheveux d’un blanc rare. Pas blond. Blanc. Ses yeux était noir comme le crépuscule. Melvyn s’assit, et vit qu’il était sur un monstre marin. LE monstre marin. Avant de le poser sur la rive d’où il venait.
-Merci! s’exclama t-il. Tu me dirais ton nom? demanda le jeune magicien
-Alizé. Alizé des îles. dit-il en partant.
Melvyn le regarda plonger, sans remonter une seule fois. Ses amis le rejoignirent et il leur expliqua pourquoi il était trempé. Pour la première fois depuis longtemps, ses amis le croyaient et voulait l’aider à retrouver Alizé.28 juin 2014 at 21:54 #34291La mélodie des étoiles
Le chant des sirènesLaure en avait marre. De toute cette histoire qui tournait au drame. Pourquoi ne pas renoncer et retourner chez eux? Pourquoi est-ce qu’il suivait tous Shaun? Il a été fortement affecter après la mort de Mahoré. Mais alors, plus rien ne le retient ici. Pourquoi continuer à courir après le monde des rêves pour échapper à la réalité, hein?
-C’est ta tête qui parle pour dire ça. parla une voix
Une voix fine, ni aigu ni grave. Pourtant, c’était la voix d’une fille. Laure regarda devant-elle et vit un visage pointant sur elle. Des visages de femme, puis des queues de poissons. C’était des sirènes. Mais ça ne l’intéressait pas. Après avoir vue une chimère, un phénix, un homme serpent et j’en passe, elle s’en fichait. Alors, les sirènes se mirent à chanter. Des voix tristes et maussade, et pourtant si mélodieuse venait déchirer les tissus du ciel. D’abords les étoiles, puis la lune, et enfin l’espace. Laure regarda le ciel, pensant à ses parents qui la regardait. Peut-être… Des larmes coulèrent des yeux de cette jeune adulte, qui aurait pu être comme les autres…
-La pluie tombe de tes yeux. lui parla une voix
Cette voix là, n’était pas comme celle des sirènes. Elle était étrange. Agréable à entendre. Et pourtant, si confus. Une voix qui fonderait presque dans le brouhaha de l’océan. Laure regarda se visage, qui regardait le sien, comme si elle était étrange. Laure reconnu les cheveux blanc du gamin que Melvyn avait décris.
-Tu t’appelles Alizé? lui demanda Laure
-Les prénoms non pas tellement d’importance. lui répondit le gamin
Il était plus grand que Melvyn et plus muscler. Ses cheveux dégoulinaient d’eau.
-Pourquoi l’as-tu dit à Melvyn?
-Par ce qu’il comprend! Il comprend le mal et le bien. Il comprend le juste et l’injuste. Il comprend la vie et la mort. Mais il ne veut pas y croire. Il ne veux pas abandonner. Melvyn est un enfant pur. Toi aussi. Mais toi, tu as peur. Peur de quoi? Je ne sais pas. Mais tu as le droit d’avoir peur. Alors eux ont le droit de suivre leurs chemins. Tu peut rentrer comme tu peut rester. Le choix t’appartient. Moi je n’ai pas le droit de te dire quoi que ce soit. Mais sache: que tu n’aura jamais le droit d’insulter ce pourquoi ce bat un homme. Que se soit pour le bien ou pour le mal. Tu voudrait sauver ton ami? Alors tu prend cette carte. Si tu ne veux pas, tu la donnera autres. En échange, je veux Corentin. lui expliqua Alizé
-Corentin?! Pourquoi? demanda Laure
-Tu connais les sorts de la terre? Eh ben moi c’est ceux de l’eau. Son esprit est fluide et est facilement déchainer. Comme l’eau avec un simple vent. Il sera le chef de troupes. Il vaut mieux qu’il soit préparé.
-Chef de troupe? essaya de comprendre Laure
-Je vois dans l’avenir Laure.
-Alors est-ce qu’on va y arriver? demanda Laure, plus trop sur d’elle
-La foie et les choix seront votre tombeau. Ou au contraire, votre paradis.29 juin 2014 at 13:59 #34301La mélodie des étoiles
La décision de LaureLaure regardait Alizé, puis la carte qu’il déposa dans sa main.
-Tu viendra avec nous? demanda perplexe Laure
-Avec “nous”? répéta Alizé. Il n’y a pas de nous. Il y a toi. Pendant la guerre, je serai là. Mais pas avant. lui expliqua le jeune garçon
-Attend moi! lui pria Laure
Elle parti chercher Corentin, encore à moitié endormis.
-C’est lui, ton esprit fluide? demanda la jeune adulte
-Jette le à l’eau. De toute façon, il finira mouillé. gloussa Alizé
Mais Laure préféra le lui donner que le jeter. Elle regarda les deux garçon qui partaient doucement sur le monstre. Puis elle courut vers sa maison et elle se prépara pour entreprendre cette quête. Elle comprit bien vite que la carte que lui à donner Alizé est magique, car lorsqu’elle se déplace, la distance à parcourir est écris et change à chaque pas et une croix lumineuse indiquait l’endroit voulu. Sans prévenir, Laure partie, ne sachant pas quand elle allait revenir.30 juin 2014 at 01:26 #34369Je tente moi aussi, je suis pas super fort en écriture mais j’ai pas mal d’idées pour mon texte, si ça vous plait faites le moi savoir pour que je continue
Fiction de Case #1
Préface :
J’ai faim, j’ai soif, j’ai froid, les gens passent et m’ignorent, comme si je n’était qu’un déchet, je me demande parfois si ma vie aurait pu prendre une autre tournure, si j’aurai pu simplement me contenter de suivre cette société comme tout le monde, ou pas.
Je ne compte plus les jours, ni les années, je ne sais même plus mon âge, peut être ai-je soixante-dix ans ou juste cinquante ans, cela fait peut être déjà dix ans c’est arrivé, ou bien c’était peut être hier.
Je n’ai plus de nom, j’en avait un, mais plus maintenant, on me désigne simplement comme un clochard, un condamné, un futur exécuté.J’ai pourtant été un jour comme tout le monde, j’avais mes parents, mes amis, j’était si bien, la seule chose qu’il me reste est ce pauvre carnet ou j’y écrit ma misérable histoire, tout en sachant qu’il finira brûlé comme tout les autres, à la presse.
Si seulement je serait né un siècle plus tôt, ma vie aurait été totalement différente.Je ne sais pas entre quels mains tombera ce livre qui est l’histoire de ma vie, mais j’espère de tout mon coeur qu’il sera conservé, car c’est probablement le seul livre qu’il reste dans ce monde de dictature.
30 juin 2014 at 12:32 #34376Continue cars elle est bien ton histoire
30 juin 2014 at 14:49 #34395Merci ^^ cars ? ^^
30 juin 2014 at 15:12 #34399case*
30 juin 2014 at 15:29 #34403Tien Case, ton histoire me rappelle le journal d’Anne Franck. Très beau livre, je le conseille fortement!
1 juillet 2014 at 15:23 #34461Après case?
3 juillet 2014 at 18:16 #34554C’est quoi la suite?
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